Le 25 mai, nous nous rendrons une nouvelle fois aux urnes pour élire nos députés régionaux, fédéraux et européens.
Je serai à nouveau candidat sur la liste ProBruxsel au Parlement de la Région Bruxelloise, comme je l'avais déjà fait en 2009.
Issu de la société civile, cette candidature n'est pas à proprement parlé simplement un acte politique, mais bien un réflexe de survie.
Car 2014 sera à n'en pas douter une date importante pour le futur de notre région et de ses habitants.
Et ce sera également une date importante pour notre mouvement politique : pour la première fois, nous pourrions effectivement envoyer un voire deux députés ProBruxsel au Parlement Bruxellois.
Et enfin faire entendre notre voix, nos propositions et partager notre vision sur l'avenir de notre région.
Pourquoi je me présente, ce en quoi je crois :
L'engagement politique, c'est un acte au service de la société, des gens.
C'est être acteur du changement, plutôt que spectateur.
C'est apporter des solutions plutôt que de se complaindre dans les problèmes.
C'est enfin, et surtout, porter une vision optimiste sur l'avenir.
Mes 3 priorités :
1. L'enseignement
L'enseignement bruxellois souffre. Et surtout, les enfants bruxellois souffrent.
Décret-inscription générateur d'injustice, non-adéquation de l'offre en quantité et qualité avec la demande, obsolescence des infrastructures, sous-investissement chronique, manque de professeurs... L'enseignement à Bruxelles est aujourd'hui une machine à produire de l'injustice sociale ... et des chômeurs. Il est urgent de casser cette mécanique infernale pour remplacer le modèle communautaire actuel par un enseignement de qualité pour tous, bilingue et moderne.
Ce n'est pas une question de budget : l'investissement par élève en Belgique est un des plus élevés de l'Union Européenne et du monde !
C'est une question de choix politiques et de répartition de ces moyens. Ainsi, est-il normal que 9% du corps enseignant soit "détaché", c-a-d non pas dans les classes, à faire leur métier d'enseignant mais dans l'administration, l'inspection etc...
Il faut d'urgence redonner de l'autonomie aux directions, qui sont avec leurs équipes pédagogiques, les plus à même de s'adapter aux besoins de leurs élèves.
ET faire en sorte qu'au coeur de la capitale de l'Europe, nous ne soyons plus les détenteurs de ce triste record : 1 jeune sur 3 de moins de 25 ans est au chômage. 16% quitte l'enseignement sans diplôme...
2. Les entreprises et l'emploi
Chef d'entreprise, je constate quotidiennement les difficultés auxquelles sont confrontées les entreprises de la région. D'un côté, 25% de chômeurs et singulièrement chez les jeunes, de l'autre des entreprises qui cherchent désespérément des ressources dans divers secteurs tels que l'ICT, les services aux personnes, les services d'accueil...
Il faut d'une part simplifier les structures administratives et accélérer l'accès à l'innovation et la soutenir, développer les compétences et l'aide à la création d'entreprise.
D'atre part, il faut développer les filières de formation, le lien entreprises-écoles et la formation initiale (notamment linguistique en rendant obligatoire l'enseignement bi/trilingue) pour créer une nouvelle génération de jeunes 'up & running' prêts à relever les défis d'entreprises dopées à l'innovation, aux nouvelles technologies et au développement durable.
3. La mobilité et la qualité de vie
Ce point n'est pas sans lien avec le point précédent. Certains emplois offerts à Bruxelles aujourd'hui ne trouvent plus d'acquéreur, car travailler dans et autour de Bruxelles devient de plus en plus compliqué et est perçu comme une nuisance... Il faut revoir d'urgence et intégrer la politique de mobilité au niveau de la région, en limitant l'accès automobile via un péage urbain (qui permettra en outre de lever des ressources financières nouvelles pour accélérer la transformation en matière de mobilité), en créant de nouvelles lignes en surface et pour certaines parties de la ville via l'extension du métro nord-sud, et en favorisant les alternatives de mobilité par le biais notamment d'incitants fiscaux pour les entreprises et les particuliers. Ceci demande également de revoir la répartition de pouvoirs entre région et communes, en redonnant à la Région une compétence globale en la matière là où nécessaire afin d'éviter les blocages communaux partisans. Il suffit pour s'en convaincre d'observer le spectacle lamentable auquel se livrent les bourgmestres bruxellois dans le dossier du survol de Bruxelles et du plan de dispersion dit "Whatelet" (mais que tous les partis de la majorité fédérale ont validé...). Sur ce dossier, la position de ProBruxsel est claire : Zaventem doit à terme devenir un aéroport urbain de jour, fermé la nuit, et le frêt aérien doit être organisé sur un aéroport prévu pour ce type d'activité comme Bierset par exemple.
C'est pourquoi je vous demande de me soutenir le 25 mai prochain en m'accordant votre confiance et votre vote.
José Fernandez
4ème effectif à la Région
Je serai à nouveau candidat sur la liste ProBruxsel au Parlement de la Région Bruxelloise, comme je l'avais déjà fait en 2009.
Issu de la société civile, cette candidature n'est pas à proprement parlé simplement un acte politique, mais bien un réflexe de survie.
Car 2014 sera à n'en pas douter une date importante pour le futur de notre région et de ses habitants.
Et ce sera également une date importante pour notre mouvement politique : pour la première fois, nous pourrions effectivement envoyer un voire deux députés ProBruxsel au Parlement Bruxellois.
Et enfin faire entendre notre voix, nos propositions et partager notre vision sur l'avenir de notre région.
Pourquoi je me présente, ce en quoi je crois :
L'engagement politique, c'est un acte au service de la société, des gens.
C'est être acteur du changement, plutôt que spectateur.
C'est apporter des solutions plutôt que de se complaindre dans les problèmes.
C'est enfin, et surtout, porter une vision optimiste sur l'avenir.
Mes 3 priorités :
1. L'enseignement
L'enseignement bruxellois souffre. Et surtout, les enfants bruxellois souffrent.
Décret-inscription générateur d'injustice, non-adéquation de l'offre en quantité et qualité avec la demande, obsolescence des infrastructures, sous-investissement chronique, manque de professeurs... L'enseignement à Bruxelles est aujourd'hui une machine à produire de l'injustice sociale ... et des chômeurs. Il est urgent de casser cette mécanique infernale pour remplacer le modèle communautaire actuel par un enseignement de qualité pour tous, bilingue et moderne.
Ce n'est pas une question de budget : l'investissement par élève en Belgique est un des plus élevés de l'Union Européenne et du monde !
C'est une question de choix politiques et de répartition de ces moyens. Ainsi, est-il normal que 9% du corps enseignant soit "détaché", c-a-d non pas dans les classes, à faire leur métier d'enseignant mais dans l'administration, l'inspection etc...
Il faut d'urgence redonner de l'autonomie aux directions, qui sont avec leurs équipes pédagogiques, les plus à même de s'adapter aux besoins de leurs élèves.
ET faire en sorte qu'au coeur de la capitale de l'Europe, nous ne soyons plus les détenteurs de ce triste record : 1 jeune sur 3 de moins de 25 ans est au chômage. 16% quitte l'enseignement sans diplôme...
2. Les entreprises et l'emploi
Chef d'entreprise, je constate quotidiennement les difficultés auxquelles sont confrontées les entreprises de la région. D'un côté, 25% de chômeurs et singulièrement chez les jeunes, de l'autre des entreprises qui cherchent désespérément des ressources dans divers secteurs tels que l'ICT, les services aux personnes, les services d'accueil...
Il faut d'une part simplifier les structures administratives et accélérer l'accès à l'innovation et la soutenir, développer les compétences et l'aide à la création d'entreprise.
D'atre part, il faut développer les filières de formation, le lien entreprises-écoles et la formation initiale (notamment linguistique en rendant obligatoire l'enseignement bi/trilingue) pour créer une nouvelle génération de jeunes 'up & running' prêts à relever les défis d'entreprises dopées à l'innovation, aux nouvelles technologies et au développement durable.
3. La mobilité et la qualité de vie
Ce point n'est pas sans lien avec le point précédent. Certains emplois offerts à Bruxelles aujourd'hui ne trouvent plus d'acquéreur, car travailler dans et autour de Bruxelles devient de plus en plus compliqué et est perçu comme une nuisance... Il faut revoir d'urgence et intégrer la politique de mobilité au niveau de la région, en limitant l'accès automobile via un péage urbain (qui permettra en outre de lever des ressources financières nouvelles pour accélérer la transformation en matière de mobilité), en créant de nouvelles lignes en surface et pour certaines parties de la ville via l'extension du métro nord-sud, et en favorisant les alternatives de mobilité par le biais notamment d'incitants fiscaux pour les entreprises et les particuliers. Ceci demande également de revoir la répartition de pouvoirs entre région et communes, en redonnant à la Région une compétence globale en la matière là où nécessaire afin d'éviter les blocages communaux partisans. Il suffit pour s'en convaincre d'observer le spectacle lamentable auquel se livrent les bourgmestres bruxellois dans le dossier du survol de Bruxelles et du plan de dispersion dit "Whatelet" (mais que tous les partis de la majorité fédérale ont validé...). Sur ce dossier, la position de ProBruxsel est claire : Zaventem doit à terme devenir un aéroport urbain de jour, fermé la nuit, et le frêt aérien doit être organisé sur un aéroport prévu pour ce type d'activité comme Bierset par exemple.
C'est pourquoi je vous demande de me soutenir le 25 mai prochain en m'accordant votre confiance et votre vote.
José Fernandez
4ème effectif à la Région